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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 22:24

Tirée de son sommeil à 2h30 du matin, Carmen Gareau-Humphrey,

carm.JPG

une humble mère de famille

vivant alors dans l'anonymat,

dût se lever et se rendre à la cuisine.


Elle prit un crayon et écrivit d'un trait, sans rature aucune,

sur une feuille blanche,


une éblouissante prière de guérison dictée par l'Esprit-Saint lui-même.

 

  hum_65_400.jpg

 

PHOTO: Carmen Humphrey, à l'Église Assomption de Shawinigan,

au Québec, le jeudi 10 novembre 2011.

Cliché Michel Cloutier.


(Lien en bas de page ou  sur mon blog)

 

 

 

C'était en 1995, à Saint-Isidore-de-Bellevue,

village canadien-français de la petite province anglaise de Saskatchewan

dans les prairies de l'Ouest du Canada.

 

"Ce soir là, raconte-t-elle

dans son émouvant témoignage,

j’ai passé une nuit pas mal agitée:

tourne d’un bord, tourne de l’autre.

À 2h30, quelque chose me poussa

à me lever et à écrire quelque chose.

 

 

 

Pendant cinq ans, mes enfants, lorsqu’ils étaient petits, m’ont réveillé toutes les nuits aux deux heures et,

à chaque fois, je ne voulais jamais me lever.


J’ai pris ma couverture et me suis bien emmaillotée dedans en me disant que si je ne bougeais pas,

je me rendormirais.

 

 

 

Mais, j’ai entendu:

«Sois obéissante,

sois obéissante!»

Ça résonnait tellement fort dans ma tête que j’ai fait revoler la couverture

et me suis dit: «D’accord!»

 

 

 

Je me suis levée et suis allée

dans la cuisine sans s

avoir ce que je faisais.

 

 

 

J’ai pris un morceau de papier et,

en quelques minutes,

j’avais écrit une prière incroyablement

belle avec des expressions que je n’avais

jamais utilisées auparavant dans ma vie.

 

Je l’ai regardée et me suis dit:

«C’est tellement beau!»

Cette prière était dans ma tête.

 

 

 

Je suis retournée me coucher et j’ai prié pour les deux garçons sur lesquels je n’avais pas prié,

pour mon père qui était en train de devenir aveugle, pour des personnes qui ont le cancer,

pour des personnes qui souffrent d’allergies;


j’ai prié jusqu’à 5h30 du matin.

Le lendemain avait lieu le Cénacle chez la dame, à 1h. "

 

 

Carmen04Doucette.JPG

Des tournées

dans le monde:

 

France, Angleterre, Irlande, États-Unis, etc:

 

 

 

Dans sa toute dernière tournée de novembre 2011

en terre québécoise, de passage à l'Église Assomption de Shawinigan,

(photo) au coeur du Québec,

Carmen Humphrey a exhorté les quelque

150 personnes venues l'entendre,

de "laisser la Lumière du Christ passer en vous."

 

 

 

C'est en 1998 que cette dame dont la simplicité

du coeur et l'humour sont attachants,

fut visitée par le Ciel,

bénéficiant de visions célestes multiples

(plus de 200),

maintes fois rattachées aux miracles de guérision

et de soulagement de l'âme et du corps

de ces centaines de personnes mises sur son passage.

 

 

 

Guérisons totales, immédiates

et sans récidive

hum_7686_400.jpg

 

Si bien,

que durant les onze permiers mois de sa mission,

elle sera visuellement témoin de 150 cas

de guérisons,

parfois totales, immédiates et sans récidive,

 

hum_9889_400.jpg

à la faveur des journées et des soirées qu'elle animait

sous l'intercession de la Vierge-Marie

et la mouvance de l'Esprit-Saint.

 

 

 

Voyante malgré elle,

Carmen Humphrey rappelle que seule

la récitation du chapelet

peut changer le cours de l'Histoire

du monde et l'histoire personnelle

des gens.

 

 

 

"Quand nous récitons le chapelet,

nos vies changent", dit-elle.

 

 

Et que dire

de l'Eucharistie:

c'est le plus grand des miracles.

Il ne cède en rien la création de l'univers par Dieu le Père.

 

 

 

hum 7686 400

 

Photo: L'imposition des mains favorise une pénétration divine de la puissance de l'Esprit-Saint.

Photo, Église Assomption.

hum_292_400.jpg

***************************

 

 

Voici le cheminement fabuleux

de Carmen Humphrey

 

 

 

Je m’appelle Carmen Humphrey

et je viens d’un petit village canadien français

qui s’appelle St-Isidore-de-Bellevue,

en Saskatchewan, et qui se trouve à environ

100 kilomètres de Saskatoon.

 

  hum_333_400.jpg

 

  Le village de Saint-Isidore-de-Bellevue

dans les prairies canadiennes.

 

 

 

Je ne vous ennuierai pas avec les détails de ma jeunesse,

parce que mes premières années

ont été très heureuses.


Nous étions pauvres

mais

nous ne le savions pas.

 

 

 

On s'est toujours senti aimés et en sécurité.

J’ai fait mes études pour devenir infirmière licenciée

et j’ai travaillé à la City Hospital et à l’hôpital Royal University dans la salle d’opérations,

dans les salles d’observation,

et finalement aux soins intensifs.

 

 

 

J’ai également travaillé dans des maisons pour personnes âgées.

 


J’en suis à mon deuxième mariage

et je suis très heureuse.


Lors de mon premier mariage, j’ai été victime d’abus.

Mon premier mariage a été annulé par l'eglise.


Mon mari Scott et moi avons deux garçons, Michael

qui a 18 ans, et Stéphan qui a 17 ans.

 

 

 

 

 

J’ai toujours cru en Dieu.

Étant jeune, j’étais fidèle à la pratique religieuse mais, quand je suis partie de la maison,

je n’étais plus aussi fidèle à la messe du dimanche.


Je croyais en Dieu, mais je pensais parfois qu’il m’avait abandonnée.

En 1984, j’ai eu un accident de voiture.

 

 

  Carmen_Hand.jpg

Photo: La main stigmatisée de saint Padre Pio

dont le sang laisse apparaître le visage du saint italien.


Cliché pris à l'Église Assomption de Shawinigan,

ce jeudi 10 novembre 2011.


Padre-Pio.jpg

Saint Padré Pio

 

Suite à l’accident j’avais de gros maux de tête.

J’avais souffert d’un traumatisme cervical et mes maux de tête étaient douloureux à un point tel

que je ne pouvais pas travailler.

 

 

 

En 1988,

ma soeur apprit qu’elle avait le cancer.

C’était un cancer rare

et elle a beaucoup souffert.

 

emiliano-tardif1.jpg

 

En juillet 1989, le Père Émilien Tardif

est venu en Saskatchewan.

Il est décédé maintenant.

Il a célébré une messe de guérison à l’église

St. Patrick.

Il y avait beaucoup de monde:

l’église était pleine.

Ma mère avait demandé que nous y allions tous

pour prier pour ma soeur.

Bien que je ne savais pas trop si je croyais

aux miracles et aux guérisons,

j’y suis allée car, quand notre mère nous demande

de faire quelque chose,

on le fait!


Je me suis mariée en 1988

et je suis devenue enceinte en 1989.

 

 

 

J’avais des maux de tête à tous les jours et, souvent,

deux fois par jour.

Je ne voulais pas aller à cette messe de guérison,

mais j’y suis allée quand même.


Nous étions en haut, dans le jubé,

dans cette vaste église,


quand le Père Tardif a commencé à “parler en langues”.

Je n’avais jamais entendu ça de ma vie.


J’ai pensé:

«Mon doux, c’est étrange, mais très touchant.»

Et j’ai commencé à pleurer.

Je me sentais au Ciel, et comme si j’entendais

les anges chanter.

 

p._emiliano_tardif_m.s.c.-santisimo.jpg

 

 

Quelques minutes plus tard,

j’entendis le Père Tardif qui disait:

«Quelqu’un est guéri de l’arthrite dans l’épaule gauche»

et une personne s’est mise debout.

Pendant environ 30 minutes,

il a prié en langues et à tout bout

de champ,

il s’arrêtait pour annoncer:

«Quelqu’un est guéri de ceci,

quelqu’un est guéri de cela.»

 

 

 

 

Un peu partout dans l’église

des personnes se levaient debout.

Encore une fois je me suis dit:

«Je ne crois pas en tout cela.

Ils doivent s’être parlés entre eux avant!»

Je ne voulais même pas être là il faisait très chaud

dans l’église et j’étais enceinte.

 

 

 

Tout à coup, le prêtre a dit:

«Quelqu’un qui souffre de beaucoup de maux de tête

depuis quelques années ressent maintenant beaucoup

de chaleur dans le cou.»


Eh bien, je ressentais beaucoup de chaleur

dans mon cou,

mais je n’étais pas pour me mettre debout et dire:

«C’est moi!»


Je me suis dit

que ça devait être parce que

j’étais enceinte,

que j’avais les cheveux longs,

et que c’était le mois de juillet.

Alors, je n’ai rien dit.

 

 

 

Après cette messe

de guérison,

je n’ai plus jamais eu mal à la tête.

emiliano_tardif_orando_por_los_enfermos.jpgPendant cinq années,

j’avais eu ces maux de tête de façon presque constante, et puis, tout à coup, plus de maux de tête!

 

J’ai tout de suite su dans mon coeur

que c’était un miracle,

car je savais combien mes maux de tête

avaient été intenses.


Je l’ai dit à personne parce qu’ils auraient pensé que j’étais en train de devenir folle.

Vous savez, on ne parle pas de ces choses-là juste comme ça.

 

 

Je n’ai rien dit à personne.

Seul mon mari le savait.


Puis, le 15 juillet 1991,

ma soeur Juliette est décédée.


J’ai commencé à me dire:

«Le Seigneur m’a guéri

et il ne l’a pas guérie,

même si elle était beaucoup

plus malade que moi.


(Je n’ai pas été aussi reconnaissante pour cette guérison

que j’aurais dû l’être.)

 

19559185.jpg

 

Photo: Le père Émilien Tardif.

 

 

 

J’ai commencé à demander à l’Esprit Saint de m’aider, de me rendre plus reconnaissante, de faire de moi


une meilleure épouse

et une meilleure mère,

une meilleure soeur,

une meilleure fille

et un bon exemple

pour tous ceux que je rencontrerais.


Je lui ai aussi dit

de se servir de moi

s’il avait besoin de moi.


Je ne voyais vraiment pas comment l’Esprit Saint pourrait se servir de moi,


car je suis une mère à la maison,

je ne vois jamais personne,

je ne fais jamais rien

et je ne vais jamais nulle part.

 


Mais faites attention à ce que vous dites

quand vous priez,

car ça pourrait fort bien vous arriver.

 

 

 

Je me suis mise à lire sur les apparitions de Fatima, Lourdes, Medjugorje

et tous les messages.

Je me disais:

«Oh! mon doux!

nous nous dirigeons tout droit vers l’enfer,

car personne ne vit tous ces messages,

personne!

Nous sommes tous devenus indifférents

par rapport au Seigneur.

Nous vivons sans nous poser de questions

sur les conséquences de nos actions.


Il est quelqu’un vers qui nous nous tournons

quand nous avons un besoin

ou quand nous sommes très souffrants,

ou lorsque nous sommes vraiment désespérés,

à ce moment-là,

nous faisons appel à lui.»

 

 

 

 

Je me suis dit:

«Je dois commencer à prier pour ma famille, pour mes amis et pour la conversion des pécheurs.

Je dois commencer à dire le chapelet.»

 

 

 

Le Rosaire était la prière la plus puissante que je connaissais à l’époque.


Depuis, j’ai appris

que dire un seul

Je vous salue Marie

avec le coeur


peut convertir une âme,


sortir

une âme du purgatoire

et lui permettre d’entrer

au Ciel,


mettre fin à une guerre

ou changer le monde.

 

 

 

Voilà la puissance

d’un seul

Je vous salue Marie.


Je me disais donc:

«Je dois commencer à réciter le chapelet.»


Je n’aime pas dire le chapelet toute seule,

car j’ai beaucoup de difficulté à me concentrer.

Alors, j’ai commencé à demander à des personnes: «Voudriez-vous que l’on se rencontre une fois par semaine pour réciter le chapelet?»

Personne ne voulait réciter le chapelet avec moi.

Tout ceci se passait entre 1991 et 1995.

 

 

 

En septembre 1995 avait lieu la levée de fonds annuelle de l’évêque.

Une femme merveilleuse et sa fille vinrent chez moi. Pendant notre conversation, j’ai dit,

«Savez-vous, je suis à la recherche de quelqu’un avec qui réciter le chapelet et personne ne veut le faire.

Jeannette répondit:

«Je vais réciter le chapelet avec toi.»

 

 

 

J’ai répondu:

«C’est merveilleux!»

Alors, dès cette semaine-là,

nous avons commencé à dire le chapelet ensemble une fois par semaine.


Nous allumions une bougie

et c’était très calme et paisible.


Chaque semaine nous nous rencontrions pour prier le chapelet.

 

 

 

Durant le mois de février 1996,

le carême a commencé et nous nous sommes dit

que nous voudrions faire un petit spécial.

Nous avons commencé à nous rencontrer

plus souvent, à aller à la messe, à l’adoration

et à dire le chapelet jusqu’à cinq fois par semaine.

Quand on récite souvent le chapelet,

notre vie commence à changer.


Nos vies commencèrent à changer.

Je ne sais pas comment le décrire

mais c’était merveilleux.


Et voilà qu’à la fin de 1996,

une autre femme vint vers moi.

Nous étions à l’adoration

et elle vint vers nous et nous invita

à son Cénacle marial

chaque vendredi à une heure.


Nous avons commencé à nous y rendre tous les vendredis après-midi

et nous y avons rencontré

des personnes merveilleuses.

 

 

 

Puis, en 1997, les choses commencèrent vraiment à débouler.

à l’époque, je pensais que c’étaient de simples coïncidences, mais maintenant je me rends compte que c’étaient de petites interventions divines.

Le 13 juillet 1997, je suis allée chez la femme chez qui avait lieu le Cénacle.

Elle avait une invitée qui habite Vancouver et qui a des visions.

Son invitée pria sur moi et me dit:

«Dieu a une mission pour toi.»

Quand on se fait dire quelque chose comme ça,

on ne sait pas trop quoi penser.

Je suis revenue à la maison

et je me souviens d’avoir dit à ma mère:

«Je me demande quel genre de mission

le Seigneur a pour moi.»

Je me souviens d’avoir discuté de cela avec elle.

 

Deux jours plus tard, le 15 juillet, un mardi, c’était l’anniversaire du décès de ma soeur.


Chaque année, nous allons à Saint-Laurent, au sanctuaire de Duck Lake.


Nous y sommes allés avec un groupe de personnes

et avons dit le chapelet ensemble.


Je suis allée dans une petite boutique et j’ai trouvé

une petite médaille de l’Esprit Saint.


Je la trouvais si jolie, et je l’ai achetée.

J’ai demandé au prêtre, le Père Fioleau, de la bénir.

Je l’ai mise sur ma chaîne et je la montrais à tout le monde en disant:

«Regardez, j’ai trouvé mon Esprit Saint!»

Ils ont dû tous penser que j’étais un peu folle au sujet de cette médaille.

 

 

La dame chez qui avait lieu le Cénacle a pris la médaille dans sa main et a dit:

«Elle me brûle la main.»

J’ai touché la médaille et elle était chaude

mais c’était le mois de juillet et il faisait chaud dehors,

mais elle ne me brûlait pas la main.

Elle me regarda et me dit:

«Tu es remplie de l’Esprit Saint,

tu vas recevoir un don de l’Esprit Saint.»


Encore une fois, on ne sait pas trop quoi dire ou quoi penser quand on se fait dire quelque chose comme ça. Puis, elle a dit:

«Peut-être que tu vas parler en langues.»

Je m’étais déjà fait dire ça et je me suis dit:

«Peut-être que dans dix ans je vais parler en langues… Je peux vivre avec ça.»

 

 

 

Le lendemain, je suis allée à l’église St. Mary.

J’y vais plusieurs fois par semaine.

Après la messe, j’ai rencontré une amie

sur le perron de l’église.

Je lui ai dit:

«Hier, je suis allée à Saint-Laurent et nous avons récité le chapelet et fait le Chemin de la Croix.

C’était une très belle journée et, regarde, j’ai trouvé mon Esprit Saint!»

 

 

 

Comme je lui montrais ma médaille de l’Esprit Saint, elle me dit,

«Je viens d’avoir une manifestation de l’Esprit Saint.»

Je ne savais pas ce que ça voulait dire.

Je ne savais pas que des personnes pouvaient avoir

ce genre d’intimité avec l’Esprit Saint.

 

 

 

Elle me dit:

«Je sens que l’Esprit Saint est ici avec nous.»

Je me suis dit: «Bien, nous venons d’aller à la communion, nous sommes à côté de l’église, peut-être qu’il vient nous dire bonjour.»

Je ne savais pas.

Ce soir-là nous avons eu une heure d’adoration ici

à l’église Saint-Jean-Bosco.

 

 

 

Ce soir-là, je suis venue à 9h et je me suis assise droit au milieu de l’église.

Je me suis dit:

«Je vais passer une très belle heure d’adoration parce que j’ai beaucoup de choses pour lesquelles

je veux prier.»

Je commence toujours avec le Notre Père,

mais j’étais incapable de dire le Notre Père,

je ne pouvais pas prier du tout.

Je me suis dit:

«Mon doux, pourquoi est-ce que je ne suis pas capable de me concentrer?»

 

 

 

D’habitude, je suis capable de me concentrer quand je prie.


J’ai commencé à regarder les murs et à penser

à toutes sortes de choses

comme, par exemple,

ce que j’allais faire pour souper le lendemain soir.


Le Saint Sacrement était exposé droit devant moi

et je me sentais coupable

de ne pas être capable de me concentrer sur la prière.


Je me suis dit que je devrais peut-être

essayer de lire quelque chose,

mais j’étais incapable de me concentrer

sur quoi que ce soit.


Même si je suis restée une heure entière,

je n’ai pas réussi à réciter une seule prière.


En m’en retournant à la maison, je me disais que j’avais été bien distraite et que ces heures d’adoration sont rares et qu’on ne devrait pas les gaspiller.

 

  *********

 

À la maison, j’ai un petit travail qui consiste à faire

des épilations à la cire chaude.

Le lendemain matin,

une dame avait rendez-vous pour son épilation.


Elle avait un petit garçon de 5 ans qui était en train

de devenir sourd

et qui fréquentait l’école pour les sourds.

Elle avait emmené son fils avec elle.

 

 

 

Lorsqu’elle entra chez nous, j’entendis une voix.

Sans doute, vous allez trouver que mon histoire commence à devenir bizarre.

La voix disait: «Place ta main sur ce petit garçon et prie pour lui.»

Il n’était pas question que j’impose les mains à cet enfant.

Je ne connaissais pas assez la femme pour ça.

On ne touche pas n’importe qui juste comme ça.

J’ai toujours respecté l’espace vital des gens.


J’ai prié pour lui dans mon coeur parce que je ressentais de la compassion pour lui,

mais je ne lui ai pas imposé les mains.

Puis, la femme est partie de chez moi.

 

 

 

Une heure plus tard, ma nièce est venue avec son petit garçon qui avait 11 mois à l’époque.

Ce petit enfant était très allergique au lait.

Ils sont rentrés chez moi et,

à nouveau, j’ai entendu cette voix:

«Place ta main sur ce petit garçon et prie pour lui.»

 

 

 

La voix était réelle,

je l’entendais dans ma tête.

J’ai tout de suite pensé que j’avais des hallucinations, même si je n’en avais jamais eu de ma vie.


Il n’était toujours pas question que je place

mes mains sur son fils,

car ma nièce allait croire que j’étais folle de placer

mes mains sur cet enfant et de prier pour lui.


Je lui dis:

«Reste ici avec mes deux garçons et

je vais retourner à l’église.»

Je voulais reprendre cette heure d’adoration

que je n’avais pas réussie le soir précédent.

 

 

 

Je suis entrée dans l’église

et j’ai commencé à ressentir une sensation

de picotement dans mes mains

et comme un engourdissement

à l’intérie de mes mains.


Je me suis dit:

«Mon doux! je vais faire un ACV!

J’ai plus de 40 ans et j’ai quelques livres en trop;

je vais mourir.

C’est un bel endroit où mourir,

juste ici devant le Saint Sacrement…

Prends-moi Seigneur, maintenant!»

 

 

 

Je n’étais pas en train de mourir et j’ai commencé à me demander ce qui était en train de se passer.

Le syndrome du tunnel carpien?

C’est ça!

Je vais devoir me faire opérer et j’ai plein de vaisselle à laver!

Comment vais-je faire le ménage de la maison?

Je n’avais aucune idée quelle était la cause de cette sensation d’engourdissement.

Je suis une infirmière licenciée et je pensais à tout ce qui pourrait causer cet engourdissement dans mes mains.

Je suis restée une heure mais, encore là,

je n’ai pas récité une seule prière.

 

 

Quand je suis partie,

une dame qui venait des Philippines est sortie

en même temps que moi.

Elle est venue vers moi et a pris mes mains

dans les siennes.

Je me suis dit:

«Mais qu’est-ce qu’elle fait?

On ne va pas vers une personne qu’on ne connaît pas et lui attraper les mains juste comme ça!»

 

 

 

Elle me dit: «Est-ce que ça va ?»

Ça ne paraissait pas que j’étais émue.

Je lui ai répondu:

«Oui, ça va, mais j’ai comme une sensation de picotement dans les mains.»

Elle m’a répondu:

«Est-ce que vous le ressentez ?

L’Esprit Saint est ici présent.»

 

 

 

Je me suis dit:

«Quelle affaire!»

et je lui ai dit «Qu’est-ce que vous voulez dire ?»

Elle m’a répondu:

«Ne le ressentez-vous pas ?

J’ai répondu:

«Non, je ressens tout simplement ce picotement

dans mes mains.»

 

 

 

Elle m’a répondu:

«Est-ce que je peux venir chez vous?»

Je me suis dit: «Bon, je suppose qu’elle ne doit pas être un tueur en série puisqu’elle vient de passer une heure devant le Saint Sacrement.»

Elle m’a suivie jusqu’à la maison.

 

 

 

Au moment où elle entrait chez nous,

elle m’a dit:

«Je sens qu’il va y avoir beaucoup

de personnes qui vont venir ici

et que vous allez prier sur elles.


Vous avez le don de guérison.

Le Seigneur vous parle.

Écoutez-le!»

Là, j’ai perdu les pédales

et j’ai commencé à pleurer.

 

 

 

J’ai dit:

«Ça n’est pas possible que tout ceci soit en train d’arriver!

Des choses comme ça arrivent à de saintes personnes, sûrement pas à moi.»

Je ne voulais plus rien entendre.

Les mains me démangeaient vraiment beaucoup.

Elle me dit:

«Calme toi et soit obéissante»,

et elle s’en alla chez elle.

Ce soir-là, mon mari…

Je dois vous dire que mon mari est un homme merveilleux,

mais qu’il n’a pas grandi dans la foi.

 

 

 

Il ne parle jamais de Dieu.

En fait, avant qu’on se marie, la seule chose que je lui ai dite était:

«Ne me force jamais à choisir entre toi et le Seigneur, parce que tu vas perdre à chaque fois.»

C’est tout ce qui a jamais été dit au sujet du Seigneur entre mon mari et moi.

Il me laisse faire tout ce que je veux; il est très tolérant et a dû le devenir de plus en plus avec les années.


Il me dit:

«Il y a quelque chose qui t’achale, il faut que tu me dises ce qui ne va pas.»

Je lui répondis: «Je ne peux pas te parler de ça.

Tu ne me croirais jamais.»

 

 

 

Il me répondit:

«Il faut que tu me dises

ce qui ne va pas.

Il faut que tu me le dises.»

Alors je lui ai dit:

«Tu ferais mieux de t’asseoir

parce que

tu n’en croiras pas tes oreilles.»


Je lui racontai ce que les femmes avaient dit au sujet de l’Esprit Saint

et au sujet du picotement

dans mes mains,

et des voix que j’avais entendues…


Après un bout de temps,

il dit:

«Peut-être que le Seigneur veut que tu fasses

quelque chose.»

Je l’ai regardé en me disant:

«Qu’est-ce qui te prends?»

Je comprends maintenant

que ce n’était pas lui

qui avait parlé.

Ces paroles ne seraient

jamais sorties

de sa bouche.



Une nuit agitée,

et la dicté de l'Esprit-Saint

Lien  Pour savoir +

   clic sur link

 

  http://journalquebecpresse.org/modules/news/article.php?storyid=3065

 link 

 

 

6d059e18.jpg

Mardi 11 Décembre 2012.

 

Vision reçue par Carmen Humphrey.

 

*Cœur de Marie*.

 

Il n'y a pas eu de parole ce Mardi soir, mais j'ai vu la Vierge Marie se tenant en face de nous tous...

 

 Dans sa main gauche, elle tenait son coeur.

 

- La partie haute de son coeur était en feu…

comme une torche.

 

- Avec sa main droite, elle a touché le feu et elle est venue à chacun de nous et toucha nos cœurs.

 

- Une petite flamme apparut sur chacun de nos cœurs.

- Puis, avec son pouce et son index,

elle a élargi la flamme.

 

Merci Maman Marie!

 

 

Une image vaut plus que 1000 mots.

Lien clic sur link

http://spectaculaire.centerblog.net/345-vision-recue-par-carmen-humphrey-11-decembre-2012

link

 

 

Bisousss Bonne nuit à tous Yoyo

Ce soir Les démons frappent,

 (colère contre Yoyo)

*J'ai la photo de Marie et Jésus dans mon coeur*

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